Test – PES 2014
Cette année encore une fois la guerre PES Vs FIFA a bien eu lieu avec les épisodes respectivement appelés PES 2014 et FIFA 14. Je vous livre donc ici mon impression sur PES 2014, sans trop rentrer dans les détails puisque je pense que pas mal de choses ont été dites depuis leur sortie il y a plus de 2 semaines maintenant.
Avant de commencer je ne vais pas vous le cacher, je suis plutôt FIFA habituellement, même si cette année je ne l’ai pas encore acheté et je sais pas si je le ferai d’ailleurs. Avant de l’arriver des consoles Playstation et XBOX 360, je jouais exclusivement à PES sur Playstation 2, notamment sur l’excellent PES 6 qui était pour moi une référence absolue des jeux de foot ÊS Éà l’époque. Malheureusement Konami a complètement « détruit » sa licence à partir de ce moment et FIFA n’a plus jamais été rattrapé depuis.
Cette année Konami veut frapper un grand coup en repartant de zéro, notamment avec le FOX ENGINE, son nouveau moteur graphique. J’ai donc joué plusieurs heures à PES 2014 et je peux vous dire qu’on sent largement la différence entre celui-ci et le précédent. Notamment niveau graphique, l’aspect général est quand même bien joli, sauf quand on se rapproche du visage de joueur moins connu. Alors oui c’est vrai il y a des visages qui sont reproduits à la perfection, notamment les grandes stars, la plupart des joueurs sont bien moches.
Point de vue Gameplay, Konami a bien revu sa copie, il est moins rigide, plus accessible et produit un jeu de meilleur qualité que les précédents opus qui m’ont vites rebutés.
Côté contenu, malgré les nouvelles coupes continentales, ça manque cruellement de choses intéressantes. Il n’y a pas beaucoup de championnat, une ligue master en demie-teinte, et un tas d’autres choses malheureusement décevante.
PES s’améliore avec ce cru 2014 mais reste tout de même loin derrière son concurrent direct, FIFA qui sait se renouveler. Konami galère un peu avec le contenu qui parait très maigre et des graphismes soignés uniquement pour les stars.
Ma note 13/20 car il tend à s’améliorer avec les années.