Avis Manga – Bestiarius T5 ?>

Avis Manga – Bestiarius T5

Détails
Titre original : Editeur : Kazé Auteur : Masasumi Kakizaki Traduction : Yohan Leclerc Date de sortie : 25 octobre 2017 Pages : 200 Prix : 6,99 €
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Bestiarius est une saga que j’apprécie le plus, que j’attends le plus et que je respecte le plus, notamment par son auteur, Masasumi Kakizaki, un maître absolu. J’ai d’ailleurs, il y a quelques années, publié une chronique sur une autre œuvre du mangaka, Green Blood. Voici donc ce que je pense du tant attendu cinquième tome de Bestiarius.

Résumé :

Ier siècle après J.-C., l’Empire romain est à son apogée. Ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, demi humains, wyvernes… Tous constituent les rangs de gladiateurs jetés dans l’arène et forcés de s’entretuer pour divertir l’empereur Domitien. Or, certains d’entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers… et même contre l’Empire tout entier !

Mon avis sur Bestiarius T5

Quel bonheur de retrouver une série que j’attends autant. Dès les premières pages, j’ai retrouvé toutes les sensations des tomes précédents.

L’histoire est toujours assez simple avec Kakizaki mais elle est toujours efficace et précise. Ici on suit principalement Lucius Dias, ancien commandant de la garde prétorienne devenu gladiateur après sa trahison envers l’empereur Domitien dans le tome précédent. Il excelle dans les arènes et se forge une réputation de gladiateur quasiment invincible jusqu’au jour où il voit débarquer un colosse à moitié humain, aussi connu sous le nom d’Hannibal, le célèbre général carthaginois.

Lucius attendait le bon moment pour s’échapper sans risque pour sa famille et cette occasion se présente assez rapidement après une échauffourée. Il parvient a rassembler ses semblables et à se rebeller. Là le tome commence vraiment, l’histoire se met en route et on commence a avoir des scènes mémorables. J’aime tellement le duo de l’empereur et son conseiller, tout aussi maléfique l’un que l’autre. Plus le conseiller d’ailleurs, vu que l’Empereur parait assez faible et manipulable. Il y a pas mal de retournements de situations dans le tome et je peux vous dire que la fin ne peut pas laisser le lecteur indifférent. Elle prend aux tripes et il se peut que lâchiez une larme ou deux.

Comme dit plus haut, Kakizaki est un maître absolu dans l’art de la dramaturgie. Les dessins sont éblouissants et transpirent la beauté absolu. Je suis fan. La mise est scène est digne des plus grands films d’heroic fantasy. Le seul défaut qu’on peut trouver à cette œuvre, même si ça n’en est pas vraiment un, c’est qu’on lit trop vite ce tome, comme les précédents d’ailleurs. Les 200 pages passent très rapidement, même en prenant le temps d’admirer le travail formidable fournit par le mangaka, notamment quelques planches magistrales qu’il vous faut découvrir au plus vite.

Ce que j'en pense !

Avec un rythme de publication aussi lent, l’attente de ma part pour Bestiarius est démesurée et ce tome me comble totalement. Comme d’habitude avec Kakizaki, on prend une claque à chaque page, et que dire de la fin !Ma note : 18/20

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